Dans cet article nous allons voir comment créer un catalogue pour l'utilitaire RMAN. Ce catalogue va héberger les références des fichiers sauvegardés, leurs significations et dates. Ces informations seront également stockées dans le control file de la base de données mais seront très utiles en cas de crash complet ou de corruption de ce control file, il est donc prudent et recommandé d'héberger ce catalogue sur une autre machine (si les bases sont sur des VM, il faudra trouver une autre VM allouée sur un host physique différent).
Les sauvegardes L0 et L1 sont respectivement des sauvegardes complètes et incrémentales, toutes les deux sont des sauvegardes à chaud (base ouverte) elles ne sont possibles que si la base de données est en mode ARCHIVELOG. L'unique sauvegarde à chaud possible en mode NOARCHIVELOG est l'export (datapump de préférence).
Allons-y !
Il faut soit créer une base spécifique pour héberger le catalogue RMAN soit en utiliser une déja existante et créer un utilisateur/schéma pour abriter les objets du catalogue. Cette base devra être sauvegardée autrement que via RMAN (via un export datapump par exemple)
SQL> connect SYSTEM @RMAN Enter password: Connected. SQL> CREATE TABLESPACE RMAN DATAFILE 'RMAN.dbf' SIZE 128M AUTOEXTEND ON NEXT 16M MAXSIZE 1024M LOGGING EXTENT MANAGEMENT LOCAL AUTOALLOCATE SEGMENT SPACE MANAGEMENT AUTO FLASHBACK ON; Tablespace created. SQL> CREATE USER RMAN IDENTIFIED BY RMAN TEMPORARY TABLESPACE TEMP DEFAULT TABLESPACE RMAN QUOTA UNLIMITED ON RMAN; User created. SQL> GRANT RECOVERY_CATALOG_OWNER TO RMAN; Grant succeeded.
On va ensuite initialiser le catalogue en lançant l’utilitaire RMAN en ligne de commande :
Lire la suite : Sauvegarde d’une base de données Oracle - Stratégie Incrémentale L0 et L1
Nmon est un outil complet de monitoring live ou en trace pour IBM AIX et Linux. Voici quelques écrans et description de ses capacités de cet outil très pratique :
Lire la suite : Outil de Monitoring pour linux et unix : nmon
Tu dois devenir capable deSavoir
Savoir faire
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Les calculs effectués habituellement avec Excel utilisent des valeurs numériques qui constituent les données d'un problème. A l'aide d'un certain nombre de formules disposées dans les cellules des feuilles de calculs, on détermine alors un ou plusieurs résultats.
Mais imaginons que, dans certains cas, on connaisse les résultats attendus et que l'on se demande quelles doivent être les données.
- Donc, dans le premier cas, c'est un peu comme si je calculais le prix à payer pour acheter des barres de chocolat ; dans le deuxième cas, je détermine combien de barres de chocolat je puis acheter avec la somme dont je dispose.
- C'est tout à fait cela. Mais attention à la crise de foie.
Lire la suite : Excel et le solveur (de Excel 2000 à Excel 2010)
La console oracle OEM fonctionne (emctl status dbconsole sur le serveur de base de données nous dit running) mais impossible d'avoir la mire de login depuis un client avec IE. Internet Explorer semble bloquer le site de la console malgré l'avoir passé en site de confiance et malgré avoir désactivé la vérification du certificat serveur rien n'y fait ?
Sur votre poste client windows, ouvrez une fenêtre de commande en tant qu'administrateur et essayez ceci :
certutil -setreg chain\EnableWeakSignatureFlags 8
Cela permet d'accépter les site dont les certificats ne répondent pas aux critères de sécurité windows et la console oracle 11g en fait partie. Microsoft a publié un avis de sécurité indiquant que l'utilisation des certificats RSA dont la longueur de clés est inférieure à 1024 bits sera bloquée : http://support.microsoft.com/kb/2661254/fr
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